Qui sommes-nous?

Futuropolis : des livres pour l’esprit et le cœur


Futuropolis aime les livres au présent, les livres à forte personnalité, les livres qui savent toucher l'esprit et le cœur, la réflexion et l'émotion. Des livres qui parlent du monde, ancrés dans la réalité.

Loin des clivages, des chapelles et du système de collections, Futuropolis publie exclusivement des œuvres originales, libres de tout style, de tout a priori avec le désir d'accompagner des auteurs renommés ou des jeunes encore inconnus, dans leurs envies et dans leurs créations, avec un programme régulier, ambitieux et renouvelé.

Afin d'accompagner avec justesse le propos et la démarche des créateurs, Futuropolis édite des livres dont la forme est le reflet de la diversité de leurs œuvres : noir et blanc, couleur, petit ou grand format.

Reportages, enquêtes, récits de voyages, sagas historiques, adaptations littéraires, passerelles vers le monde des arts ou de la musique… autant d’axes qui se sont imposés au fil des ans et qui ont construit le catalogue.
La bande dessinée a exploré de nouvelles voies et certains auteurs en ont écrit et dessiné parmi les plus belles pages.

Vous trouverez sur ce site l’ensemble des livres que nous avons publiés depuis 2005, ainsi que les titres encore disponibles du catalogue historique. Cela vous permettra de mieux nous connaître et, nous l’espérons, vous donnera envie de nous suivre sur ces nouveaux chemins !

Futuropolis, une belle envie d’éditer, de belles envies de lecture !

 

De Futuropolis... à Futuropolis

 

Futuropolis

1972 : ouverture de la librairie Futuropolis, dans le XVe arrondissement de Paris par Étienne Robial et Florence Cestac.
1974 : premier livre des Éditions Futuropolis, le 30/40 Calvo rend hommage à l’un des grands maîtres de la bande dessinée française. Dans la même collection paraît la Véritable histoire du soldat inconnu de Tardi.
1980 : création de la collection « Copyright » qui rend hommage aux grands auteurs de la bande dessinée américaine.
1985 : lancement de la collection « X », laboratoire où se côtoient en toute liberté auteurs confirmées et jeunes talents. Tardi est Grand Prix de la ville d’Angoulême.
1988 : Les Éditions Gallimard deviennent actionnaires de Futuropolis. Parution du Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline illustré par Tardi dans la collection Futuropolis/Gallimard.
1994 : Étienne Robial quitte les Éditions Futuropolis après vingt ans d’édition et 488 livres publiés.
2000 : La Débauche, de Tardi et Pennac est l’un des plus grands succès de l’année.
2004 : Antoine Gallimard et Mourad Boudjellal s’associent pour relancer Futuropolis. Les premiers titres paraissent en septembre 2005 sous la direction éditoriale de Sébastien Gnaedig et sous l’impulsion graphique de Didier Gonord.
2005 : Période glaciaire, de Nicolas de Crécy, inaugure la collection coéditée par le musée du Louvre. Désormais, la bande dessinée peut rimer avec musée.
2006 : Y a quoi devant quand tout est derrière ? Pascal Rabaté s’interroge avec humour sur le sens de la vie avec Les Petits ruisseaux, qu’il adaptera au cinéma en 2010. Alain David et Claude Gendrot viennent renforcer l’équipe éditoriale.
2007. José Munoz est Grand Prix de la ville d’Angoulême. Avec Big foot, Nicolas Dumontheuil adapte Le Monstre des Hawkline de Richard Brautigan. Futuropolis se spécialise dans l’adaptation de romans.
2008. Parution de Mattéo de Jean-Pierre Gibrat, Holmes, de Luc Brunschwig et Cecil, Martha Jane Cannary de Matthieu Blanchin et Christian Perrissin, Coupures irlandaises, de Kris et Vincent Bailly : quatre récits personnels, quatre grands récits historiques.
2009. Comment rendre en bande dessinée toute la force émotionnelle de la musique et de la danse ?  Il suffit de lire Rébétiko de David Prudhomme et Mauvais Garçons de Christophe Dabitch Benjamin Flao ! Blutch est Grand Prix de la ville d’Angoulême.
2010. Journaliste, Joe Sacco a choisi la bande dessinée pour donner la parole à ceux qui ne l’ont pas. Avec Gaza 1956 il signe l’un des ouvrages majeurs de la bande dessinée de reportage et contribue à ouvrir de nouvelles voies à la bande dessinée… Baru est Grand Prix de la ville d’Angoulême.
2011. Il voulait suivre le travail d’un vigneron, le temps d’une saison, pour mieux comprendre son travail. En échange, il lui ferait découvrir son univers. Étienne Davodeau n’imaginait pas, en commençant Les Ignorants, que ce récit d’ « une initiation croisée » deviendrait le plus grand succès de Futuropolis !
2012. Jean-C. Denis est Grand Prix de la ville d’Angoulême. Il est l’un des piliers de la maison depuis le départ. Au fil des années il a su trouver un ton, un style qui ne ressemblent qu’à lui. Une vision douce-amère de la vie comme elle va.
2013. Quand José Munoz illustre Albert Camus c’est à une véritable redécouverte du Premier homme, ce récit autobiographique inachevé qu’il nous convie. Un dialogue en toute subjectivité, entre l’écrit et le dessin. En 25 ans, Futuropolis  s’est imposé comme la référence dans ce domaine.
2014. Signe des temps, les auteurs sortent de plus en plus de leur atelier. Emmanuel Lepage est de ceux-là, n’hésitant pas à aller au cœur du continent Antarctique ! Il est devenu, de fait, le meilleur dessinateur réaliste… avec des moufles ! Gallimard redevient l’unique actionnaire de Futuropolis.
2015. Cinq mois après avoir perdu, dans l’attentat commis à Charlie Hebdo, des amis mais aussi l’envie de dessiner, Luz redevient auteur. Avec l’envie non pas de témoigner, mais de se mettre à nu, de se libérer. Catharsis devient un classique instantané.
2016. Quand un historien (Jean-Pierre Filiu) et un auteur de bande dessinée passionné d’Histoire (David B.) s’associent, cela donne la trilogie les Meilleurs Ennemis. Quand la bande dessinée raconte le monde, quand le dessin le fait comprendre.
2017. Cosey est Grand Prix de la ville d’Angoulême et arrive chez Futuropolis avec Calypso (vous l’aurez compris, pour être Grand Prix à Angoulême, il faut être édité chez Futuropolis…). La Terre des fils confirme Gipi comme l’un des maîtres de la bande dessinée contemporaine.
2018. Il y a décidément un lien privilégié entre les mangakas japonais et le Louvre : Taiyô Matsumoto et Naoki Urasawa posent à leur tour un regard décalé sur le plus grand musée du monde. Le voyage de Marcel Grob de Philippe Collin et Sébastien Goethals devient le roman graphique historique le plus vendu de la maison en dépassant rapidement les 100 000 exemplaires. Indélébiles, de Luz, revient sur l’histoire de Charlie Hebdo avant les attentats.
2019. D’À bord de l’Aquarius à Mentawaï ! en passant par Le travail m’a tué, autrices et auteurs de bande dessinée deviennent témoins des disfonctionnements du monde et s’engagent aux côtés de ceux que l’on entend pas. Les Couloirs aériens s’envolent.
2020. L’histoire de la maison continue de s’écrire, avec des documents graphiques ancrés dans leur époque, portés par Payer la terre qui marque le grand retour de Joe Sacco. La série La Chute prédit de manière troublante la pandémie qui bouleverse le monde et l’économie. Les grands auteurs reviennent, et notamment Gipi, Baru, Philippe Collin et Sébastien Goethals avec leur Patrie des frères Werner.
2021. Pourquoi l'homme croit ? En 368 pages, Et l'homme créa les dieux de Joseph Béhé, d'après l'essai de Pascal Boyer, démonte toutes nos idées reçues sur cette question fondamentale. Quand la bande dessinée s'empare de la science, cela donne aussi Le Droit du sol, ouvrage d’Etienne Davodeau sur l’énergie qui devient son deuxième plus gros succès après Les Ignorants.
2022. L'écologie devient l'une des thématiques incontournables du catalogue, avec la parution entre autres de L'âge d'eau de Benjamin Flao et du Journal anthropique de la cause animale d'Anne Bénoliel Defréville. De grandes séries historiques se terminent, notamment Mattéo de Jean-Pierre Gibrat après 6 tomes, et Bella Ciao de Baru.
2023. Plus que jamais en prise avec le réel, le catalogue s’étoffe d’enquêtes comme La Fabrique des Français de Sébastien Vassant, ou Dulcie de Benoît Collombat et Grégory Mardon. En quête de poésie, la maison propose aussi Crénom, Baudelaire ! de Dominique et Tino Gelli d’après Jean Teulé et Voleur de feu de Damien Cuvillier… pour terminer l’année avec Loire, un récit au fil de l’eau d’Etienne Davodeau.